- une baisse des prix sur certains plats et boissons ;
- la création d'emplois supplémentaires ;
- respect d'une promesse électorale.
- des rentrées d'argent en moins dans les caisses de l'Etat sur un filon inépuisable qu'est l'alimentaire. En temps de crise, c'est vraiment dommage car il va falloir chercher cet argent ailleurs ;
- porte-à-faux vis-à-vis d'autres pays européens qui n'appliquent pas cette baisse et mise en situation de faiblesse pour obtenir d'autres concessions auprès de Bruxelle.
- améliorer la qualité de service : proposer d'autres plats, faire des travaux pour améliorer la convivialité de l'endroit, renouveller le service (couverts, verres, plats, assiettes, etc...), renouveller le mobillier (tables, chaises, etc...), renouveller la tenue des serveurs, etc...
- baisser les prix de certains plats et certaines boissons. Cela touchera en priorité ce qu'on appelle dans le jargon commercial les "produits d'appel". Cela peut se caractériser par exemple par l'assurance du café à 1€, la baisse des prix sur les boissons non alcoolisés, la salade composée un peu moins cher en cette période d'été, etc... .Cette baisse de prix sera l'occasion d'attirer une nouvelle clientèle et de maintenir celle déjà en place.
- ne rien faire de plus car la notoriété de l'endroit n'est plus à prouver, car des efforts financiers contraignants ont déjà été faits tout au long de l'année (augmentation du prix des denrées, baisse de la clientèle, manque à gagner important, ...) , car dans une entreprise à but commercial il n'y a pas de petits profits voire tous les moyens d'en faire sont bons, etc...